Vol Air Malta annulé: Quand êtes-vous admissible à une indemnité ?

Réclamez entre 250 et 600 € en quelques clics

Si votre vol avec Air Malta a été annulé, ne paniquez pas ! Cette situation peut être une sacrée occasion de réclamer une compensation. La législation européenne EU261 vous soutient dans cette démarche. Ne restez pas dans le flou, prenez les devants dès maintenant pour obtenir une juste réparation.

Lorsqu’on choisit de voyager en avion, il y’a une forte possibilité que la compagnie aérienne nous joue un mauvais tour en annulant plusieurs de ses vols. Des centaines de passagers pourraient se retrouver dans la galère.

Si ça se passe comme ça chez Air Malta, imaginez la scène : des passagers qui se retrouvent plantés à l’aéroport, à se demander comment ils vont arriver à destination. Et le pire, c’est que ça peut leur coûter cher ! Ils devront peut-être débourser pour un toit pour la nuit ou même pour un nouveau billet.

Possibilité d’indemnisation pour les passagers

Mais devinez quoi ? Dans certains cas, les passagers mécontents pourraient bien se voir offrir une compensation pour les tracas subis ! Eh oui, même dans les moments de galère, il y a parfois une lueur d’espoir.

Cette réparation se matérialise par un versement d’une somme d’argent de:

– 250 euros : Qu’est généralement accordée lorsque votre vol est desservi sur un itinéraire de moins de 1500 km, et qu’il est annulé moins de 14 jours avant sa date de départ.

– 400 euros : Vous pourriez recevoir ce montant sur vous deviez voyager sur une liaison qui s’étend entre 1500 km et 3500 km.

– 600 euros : Le montant le plus élevé, vous est attribué si votre vol est opéré sur des distances de plus de 3500 km.             

Demander votre compensation

L’indemnité en question : Les exceptions à connaitre

Avant de se lancer, rappelons aux passagers que toucher une indemnité pour un vol annulé n’est pas une certitude, car il existe des situations particulières où cela ne s’applique pas. Par exemple, dans les cas de force majeure. Ils sont comme les as dans la manche des compagnies aériennes, les libérant parfois de l’obligation de débourser une indemnité lorsque les vols sont annulés.

La force majeure, ou circonstance exceptionnelle, fait référence à des événements imprévus et inévitables qui échappent au contrôle des parties concernées et qui peuvent rendre impossible l’exécution d’une obligation contractuelle.

– Quelques exemples courants:

Des tempêtes furieuses ou des conditions météorologiques extrêmes peuvent chambouler tout le planning de vol.

Les grèves soudaines des membres du personnel peuvent mettre les compagnies aériennes dans l’embarras.

Des restrictions de vol inattendues édictées par les autorités peuvent dérouter tous les plans de voyage.

Les pépins techniques inopportuns peuvent immobiliser les avions plus longtemps que prévu.

  • Exemples moins courants de force majeure :

Une éruption volcanique peut balayer les routes aériennes d’un coup de vent.

Des actes de terreur ou de guerre peuvent semer le chaos dans les airs.

Des catastrophes naturelles comme les séismes, les tsunamis ou même les éruptions solaires peuvent plonger les opérations aériennes dans l’obscurité.

Les épidémies de maladies contagieuses peuvent immobiliser les avions et faire fuir les passagers plus rapidement qu’un éclair.

Dans ces situations, les transporteurs aériens à l’instar d’Air Malta peuvent souvent éviter de verser des indemnités aux passagers, car ces événements sont souvent perçus comme des circonstances indépendantes de leur volonté.

Difficile de réclamer ? Laissez les experts s’en charger

Entamer une procédure pour obtenir une indemnisation suite à l’annulation d’un vol peut, à première vue, sembler être une opération simple. Cependant, cette perception initiale se dissipe rapidement pour beaucoup de voyageurs qui se retrouvent confrontés à une réalité pleine de défis : des démarches administratives éreintantes, des attentes prolongées et des critères d’admissibilité pas toujours clairs.

Face à ces obstacles, certains voyageurs éclairés adoptent une méthode alternative pour faciliter leur quête d’indemnisation. Ils choisissent de se tourner vers des experts en droit des transports aériens, que ce soient des sociétés de conseil ou des avocats spécialisés, qui ont pour mission de naviguer à travers les complexités réglementaires en leur nom. Ces professionnels disposent des compétences et de l’expérience nécessaires pour gérer efficacement les réclamations et interagir avec les compagnies aériennes sur un pied d’égalité.

L’avantage principal de faire appel à ces spécialistes réside dans la délégation de l’ensemble du processus administratif, ce qui permet aux voyageurs de gagner un temps précieux et de réduire leur niveau de stress. En outre, grâce à leur expertise spécifique, ces experts en droit augmentent de manière significative les chances d’obtenir une indemnisation.

Une caractéristique notable de ces services est leur modèle économique basé sur le résultat : les voyageurs ne paient des honoraires que si l’indemnisation est effectivement perçue, ce qui élimine tout risque financier en cas d’échec de la réclamation. Cette approche garantit que les intérêts du prestataire de services sont alignés avec ceux du client, rendant l’option de recourir à un expert judicieuse.

Ainsi, dans le labyrinthe des procédures d’indemnisation pour vols annulés, confier sa cause à des experts se révèle être une stratégie pragmatique et rassurante, offrant une voie plus claire vers la résolution et la réparation.